jeudi 12 juillet 2012

LA MER

« La mer, immuable étendue de l'âme

S'étalait à perte de vue, à perte de vie

Jusqu'à l'infini intemporel de l'inconnu.



La mer, elle avait essuyé toutes ses larmes

Elle l'avait rassurée, elle l'avait sauvée du mépris

Elle l'avait tant de fois consolée et soutenue.



La mer, dans sa magnificence de grande dame

C'était sa mère, princesse bleue endormie

combattant l'amer et les souvenirs malvenus.



La mer, la mer, la mer ...

Douce mélodie éphémère … »



Christel Lacroix – pensées maritimes – 12 juillet 2012

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire