C'est mercredi prochain et je vous y attends nombreux
http://gagnac-sur-garonne.fr/actualites.asp?idarticles=1239&idrubrique=2&idpage=2
mercredi 30 mai 2012
mardi 29 mai 2012
PERDRE
PERDRE ...
Je me pose mille questions
Je perds la tête
Les réponses tourbillonnent à foison
Je perds la raison
J'hurle ma vaine compassion
Je perds mon sang froid
Je fais les cents pas dans mon imagination
Je perds mon temps
La roue de la vie tourne en libre rotation
Je perds au jeu
Je me voue faible et esclave à tant d'addictions
Je perds mon âme
J'essaie hors de l'eau de reprendre ma respiration
Je perds pieds
Le fil de la vie n'est plus vraiment d'aplomb
Je perds l'équilibre
Ma boussole s'affole dans toutes les directions
Je perds le nord
Je laisse partir mes faux amis vers d'autres horizons
Je perds le contact
Ma belle robe se déchire en horribles haillons
Je perds au change
Je ne reconnais plus ni le paysage ni sa description
Je perds connaissance
J'ai vraiment très peur de cette étrange configuration
Je perds contenance
Je ne crois plus en dieu ni en sa crucifixion
Je perds la foi
Je voue mes nuits à d'intenables hallucinations
Je perds mon calme
Je lutte de toutes mes forces avec détermination
Je perds le combat
Les sentiments se mêlent à d'étranges frissons
Je perds le contrôle
Mon sang se glace d'une terrible affliction
Je perds la vie
Mais toi, ami, je ne pourrais supporter ton abandon
JE NE VEUX PAS TE PERDRE
dimanche 20 mai 2012
La Porte du Coeur
"Son coeur sclérosé tout doucement s'étiolait
comme une feuille morte abandonnée à l 'automne de ses idées.
il étouffait dans son corps, il asphyxiait dans sa tête
le long chemin de sa vie sinuait sous une grise tempête.
son sourire depuis tant de temps se fondait dans un épais nuage,
nuage ténébreux vil et impétueux enfantant sous les cieux d'un orage.
ses yeux sans fond ne voyaient plus que l'ombre de la couleur noire,
sa vie disparaissait, sombrant dans le gouffre intemporel de l'histoire.
et puis un jour quelqu'un frappa inopinément à la porte de son coeur,
il hésita longuement à entrouvrir paralytiquement atteint par la peur.
que lui voulait-on , pourquoi s'intéressait-on à lui, ignoble rejeton ?
pourtant dans un effort inconcevable , il parvint à sortir de ses gonds.
la porte doucement s'entrouvrit, un rayon de lune rassurant le pénétra.
une âme amie lui tendait la main et lui assurait d'être pour toujours là,
mais l'air de rien ce bonheur nouveau il le refusa car il en avait peur,
cette peur incommensurable qui le tordait depuis si longtemps de douleurs.
il avait toujours appris à prévenir le pire et fuir au plus loin le bonheur
pour ne pas risquer le perdre un jour sans en éprouver de rancoeur.
son âme amie garda le silence car elle le comprenait et ne le brusqua pas,
elle caressa son visage longuement et le prit tendrement dans ses bras.
il lutta de tout son être, de toute sa force, refusant d'ainsi s'abandonner,
il ne fallait pas qu'il soit heureux, c'était écrit depuis qu'il était né.
et puis étrangement la porte de son coeur céda dans un terrible fracas,
une marée de sentiments s'y engouffra et son sourire à nouveau s'illumina.
Ce poème a été écrit en collaboration avec les mots suivants :
Sentiments coeur abandonner heureux fuir douleur inconcevable paralytiquement
Merci infiniment à eux d'avoir jouer le jeu du poète
et d'avoir sauver ainsi l'âme de leur héros"
lundi 14 mai 2012
Un bijou engagé ..... Critique littéraire de Rémi Chiasson
Rémi Chiasson-Villeneuve Critique littéraire d'ASTERIA RUBENS
Un bijou engagé
Par Rémi Chiasson-Villeneuve
C’est par un heureux hasard que Christel Lacroix et moi sommes devenus amis sur facebook. Étant moi-même écrivain, j’aime beaucoup aidé mes collègues en leur achetant une copie de leur roman; ce que j’ai fait avec Asteria Rubens(217 pages) aux éditions Kirographaires. Et heu...reusement que je l’ai fait!
Au début, l’histoire m’a paru ordinaire : un simple écrasement d’avion. Cependant, l’histoire évolue au contraire de ce que l’on pourrait penser. Graduellement, le narrateur nous amène dans un monde extraordinaire dénudé de sens pour un être humain normal, mais pas dénudé de sens pour le lecteur de ce roman et ce, tout en accrochant le lecteur dès les premières lignes.
Si nous entrons aussi facilement dans ce monde et dans cette histoire, c’est grâce aux personnages. Les quelques dizaines de personnages que nous rencontrons à travers l’histoire sont des gens ordinaires. Nous pouvons, donc, nous identifier à eux sans aucun problème et ressentir leurs multiples émotions comme si c’était nous qui les ressentaient.
Rajouter à cela le fait que l’auteur y glisse son opinion sur la pollution de la planète et plusieurs points de réflexions sur nos choix et nos vies et vous y obtenez un véritable bijou littéraire. Je vous le recommande, sans hésiter!
Par Rémi Chiasson-Villeneuve
C’est par un heureux hasard que Christel Lacroix et moi sommes devenus amis sur facebook. Étant moi-même écrivain, j’aime beaucoup aidé mes collègues en leur achetant une copie de leur roman; ce que j’ai fait avec Asteria Rubens(217 pages) aux éditions Kirographaires. Et heu...reusement que je l’ai fait!
Au début, l’histoire m’a paru ordinaire : un simple écrasement d’avion. Cependant, l’histoire évolue au contraire de ce que l’on pourrait penser. Graduellement, le narrateur nous amène dans un monde extraordinaire dénudé de sens pour un être humain normal, mais pas dénudé de sens pour le lecteur de ce roman et ce, tout en accrochant le lecteur dès les premières lignes.
Si nous entrons aussi facilement dans ce monde et dans cette histoire, c’est grâce aux personnages. Les quelques dizaines de personnages que nous rencontrons à travers l’histoire sont des gens ordinaires. Nous pouvons, donc, nous identifier à eux sans aucun problème et ressentir leurs multiples émotions comme si c’était nous qui les ressentaient.
Rajouter à cela le fait que l’auteur y glisse son opinion sur la pollution de la planète et plusieurs points de réflexions sur nos choix et nos vies et vous y obtenez un véritable bijou littéraire. Je vous le recommande, sans hésiter!
jeudi 10 mai 2012
Embrasser le Soleil les Yeux ouverts
☆★☆★☆
"embrasser le soleil les yeux fermés
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
sentir peu à peu son coeur se réchauffer
apprendre à revivre blotti dans ses bras
lui livrer son secret et lui parler tout bas
briser soudain son âme en mille éclats...
embrasser le soleil les yeux fermés
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
se laisser pleurer de ce bonheur cultivé
caresser sa peau diaphane tendrement
braver l'interdit et dissoudre l'instant
apaiser sa fièvre et respirer lentement
embrasser le soleil les yeux fermés
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
apothéoser son lever et son coucher
ne plus pouvoir survivre sans lui
s'enivrer à jamais de sa symphonie
et s'enfuir dans son sillage astral"
Christel Lacroix Auteur - pensées solaires - 07 Mai 2012
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
sentir peu à peu son coeur se réchauffer
apprendre à revivre blotti dans ses bras
lui livrer son secret et lui parler tout bas
briser soudain son âme en mille éclats...
embrasser le soleil les yeux fermés
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
se laisser pleurer de ce bonheur cultivé
caresser sa peau diaphane tendrement
braver l'interdit et dissoudre l'instant
apaiser sa fièvre et respirer lentement
embrasser le soleil les yeux fermés
crier ô merveille de l'avoir retrouvé
apothéoser son lever et son coucher
ne plus pouvoir survivre sans lui
s'enivrer à jamais de sa symphonie
et s'enfuir dans son sillage astral"
Christel Lacroix Auteur - pensées solaires - 07 Mai 2012
vendredi 4 mai 2012
CRITIQUE LITTERAIRE d'Asteria Rubens
UNE CRITIQUE LITTERAIRE que j'aime ♥♥♥
pour mon Roman ASTERIA RUBENS
Merci à toi Isabelle !
http://isabelle-passions.over-blog.com/article-asteria-rubens-cristel-lacroix-102471432.html
pour mon Roman ASTERIA RUBENS
Merci à toi Isabelle !
http://isabelle-passions.over-blog.com/article-asteria-rubens-cristel-lacroix-102471432.html
LA PORTE DU REEL
"La porte du réel
Elle connaissait la porte des étoiles
ayant déjà essayé d'en soulever le voile.
Elle n'avait jamais vu la porte du réel
... Jusqu'à ce jour étrange et intemporel.
Avec grande précaution elle l'avait approchée
Si infiniment proche qu'elle faillit y tomber.
En équilibre sur son seuil déjà entrouvert
Un immense précipice elle y avait découvert .
Elle se demandait qui avait bien pu l'ouvrir,
Une éternité infinie elle avait dû y réfléchir.
La porte du réel étrangement l'attirait
Et cette envie inconcevable grandissait.
Elle grandissait au fond de son cœur
Chaque jour avec un peu plus d'ardeur.
Elle restait à observer sur le seuil, triste et seule
La peur du vide l'enveloppant de son linceul.
Un petit pas et elle saurait
Un souffle retenue et elle se sauverait.
Que devait-elle faire, peut-être y plonger
Que devait-elle faire, peut-être la fuir à jamais.
Elle s'appelait Imaginale car elle n'existait pas
Du moins elle vivait dans une dimension marginale
Elle choisit de refermer la porte sans faire de bruit
et rejoignit son monde irréel pour pleurer toute la nuit.
Le gouffre du réel véritable siphon de son âme
L'appela encore et encore de ses cris vils et infâmes
Et on entend toujours son écho sur le fil de l'infini
la nuit, quand on essaie d'écouter les bruits de la galaxie."
@Christel lacroix auteur - pensées intemporelles - 04 Mai 2012
Elle connaissait la porte des étoiles
ayant déjà essayé d'en soulever le voile.
Elle n'avait jamais vu la porte du réel
... Jusqu'à ce jour étrange et intemporel.
Avec grande précaution elle l'avait approchée
Si infiniment proche qu'elle faillit y tomber.
En équilibre sur son seuil déjà entrouvert
Un immense précipice elle y avait découvert .
Elle se demandait qui avait bien pu l'ouvrir,
Une éternité infinie elle avait dû y réfléchir.
La porte du réel étrangement l'attirait
Et cette envie inconcevable grandissait.
Elle grandissait au fond de son cœur
Chaque jour avec un peu plus d'ardeur.
Elle restait à observer sur le seuil, triste et seule
La peur du vide l'enveloppant de son linceul.
Un petit pas et elle saurait
Un souffle retenue et elle se sauverait.
Que devait-elle faire, peut-être y plonger
Que devait-elle faire, peut-être la fuir à jamais.
Elle s'appelait Imaginale car elle n'existait pas
Du moins elle vivait dans une dimension marginale
Elle choisit de refermer la porte sans faire de bruit
et rejoignit son monde irréel pour pleurer toute la nuit.
Le gouffre du réel véritable siphon de son âme
L'appela encore et encore de ses cris vils et infâmes
Et on entend toujours son écho sur le fil de l'infini
la nuit, quand on essaie d'écouter les bruits de la galaxie."
@Christel lacroix auteur - pensées intemporelles - 04 Mai 2012
mardi 1 mai 2012
SALON DU LIVRE DE MAZAMET
Si vous voulez me rencontrer,
je serai dans le tarn le dimanche 13 mai
au salon du livre de Mazamet
au stand Kirographaires Editions .
Nous vous y attendons TRES nombreux !!!!!!!!!
http://www.facebook.com/home.php?#!/events/264595136964880/
je serai dans le tarn le dimanche 13 mai
au salon du livre de Mazamet
au stand Kirographaires Editions .
Nous vous y attendons TRES nombreux !!!!!!!!!
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