jeudi 30 juin 2011

lundi 27 juin 2011

Aujourd'hui une critique positive de ma couv. qui me va droit au coeur
" Il est tant facile de critiquer la paraitre, alors que l'âme est là, et belle !" L.B
Merci

lundi 13 juin 2011

LA COUVERTURE :

Depuis 2 jours (déjà!!), vous pouvez réserver un exemplaire dédicacé de mon roman sur le site de mon éditeur .....
XOXO
Un immense MERCI à tous ceux qui ont déjà contribué à mon aventure en le réservant ou en faisant tourner le lien



http://www.edkiro.fr/asteria-rubens.html

mardi 7 juin 2011

"Toutes les descriptions que l'on peut faire de moi ou de vous sont fausses !
Nous ne sommes pas une description, une formule finie, nous
sommes infinis et en perpétuel mouvement. Ce que je suis aujourd’hui n’a rien à voir avec ce que j’ai été ou ce que je serai ! Je change, je bouge, je suis vivant ! Chaque minute, chaque seconde, chaque instant me transforme.Nous sommes conditionnés à mettre des titres, des étiquettes sur tout ce qui nous environne ! Bien que cela soit pratique, ces étiquettes sont totalement approximatives et nous éloignent de la réalité."

vendredi 3 juin 2011

Comprendre..
Vous n'avez que ce mot-là à la bouche, tous, depuis toujours. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas jouer avec l'eau et rester des heures sous l'orage les mains en l'air, qu'il n'est pas normal d'aimer trainer seule sous la pluie, qu'on ne touche pas à la terre parce que cela tache les robes et qu'il n'est pas en vogue de ne pas être présentable. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, qu'on doit parfois s'arrêter de courir après le bonheur, que courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre est dangereux. Comprendre que la vie ce n'est pas toujours faire ce que l'on a envie, que l'on ne vit pas de ses désirs et ni au jour le jour.
Comprendre qu'on ne hurle pas sans raisons et que pleurer tous les jours est malsain. Comprendre que l'âme soeur est une connerie internationale et que cracher les mots qui nous rapent la bouche ne sert à rien. Comprendre que l'on doit faire parfois semblant d'aller bien devant les gens et que la vie est souvent notre premier ennemi. Comprendre que l'on tombe par terre sans manifester sa douleur et qu'on doit trouver la force de se relever seul. Comprendre que compter sur les autres est un leurre, que notre plus beau trésor sont nos souvenirs et que ceux ci nous appartiennent pour la vie.
Comprendre, toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre.
Je comprendrai quand je serai vieille.
Si je deviens vieille.
Pas maintenant.

[ Antigone ]