« La mer, immuable étendue de l'âme
S'étalait à perte de vue, à perte de vie
Jusqu'à l'infini intemporel de l'inconnu.
La mer, elle avait essuyé toutes ses larmes
Elle l'avait rassurée, elle l'avait sauvée du mépris
Elle l'avait tant de fois consolée et soutenue.
La mer, dans sa magnificence de grande dame
C'était sa mère, princesse bleue endormie
combattant l'amer et les souvenirs malvenus.
La mer, la mer, la mer ...
Douce mélodie éphémère … »
Christel Lacroix – pensées maritimes – 12 juillet 2012
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